Fort d’une formation pluridisciplinaire en droit, marketing (ESSEC, France), économie du droit (école doctorale de Nancy II) et information militaire (avec Général Loup Francart, auteur de “La guerre du sens”), Arnaud Dotézac a exercé comme avocat spécialisé en droit de la presse, conflits armés et droit islamique.
Il a également été directeur juridique au sein de grands groupes internationaux. Passionné par l’enseignement, il a aussi été chargé de cours à HEC (France) et à l’Université de Genève.
En parallèle, il poursuit une carrière de journaliste et rédacteur en chef, publiant des analyses géopolitiques approfondies. Auteur du livre “Les Lamas se cachent pour renaître” (2008), il partage son expertise sur diverses thématiques, notamment la création de l’Europe, la retour de la Crimée en Russie, les sanctions américaines, les guerres de Syrie et de Libye, l’OTAN et la neutralité suisse.
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L’union européenne n’est pas démocratique
Le parlement européen ne fait pas de loi. Seule la commission européenne a le droit d’initiative !
A propos du fonctionnement de la cour européenne de justice, voici le passage . à 1h…
Le principe est fondamental et a été mis en premier dès 1951-1952.
Cette cours est un tribunal extra territorial, au dessus des pays, qui fonctionne sans appel, sans constitution. Il a donc “la compétence de sa compétence”. C’est lui qui décide en dernier recours. C’est donc plus un système de séparation des pouvoirs qui juge dans le cadre donné de sa compétence, Par exemple la loi et/ou la constitution.
Avec “la compétence de sa compétence”, c’est un terme juridique qui normalement est attribué à un Etat. Ça signifie que ce tribunal européen a le droit de légiférer !
Il peut créer le droit.
Donc encore une fois, la séparation des pouvoirs n’existe pas dans l’Union européenne.